Jeanne* vit dans l’une des plus belles régions de France, au carrefour du Lubéron et des Gorges du Verdon. À mi-chemin des pentes blanches des Alpes du Sud et des plages idylliques de la Méditerranée.   Son magnifique village, qui respire la Provence, est bordé par La Durance et les torrents de l’Asse et du Rancure. Des vestiges de l’occupation Romaine subsistent en de nombreux endroits de la commune, comme plusieurs tombeaux formés de briques tumulaires, un four potier, des médailles ou encore des pièces romaines. Son passé médiéval est encore bien présent à travers les ruines du château-fort de la colline du Tholonet qui continuent à dominer la cité (tours et murailles). 

Le patrimoine, une valeur sûre

Pas de surprise alors à ce que Jeanne se soit rapidement prise de passion pour le riche patrimoine de sa région. En arrivant là-bas, elle est devenue présidente d’une association du patrimoine  qui retrace l’histoire du village et de toute la vallée : « On recherche des documents sur la région, on met à jour des mines du coin. On retrace l’histoire, les personnages célèbres qui ont vécu par là. La rafle des résistants aussi ». Car son village fut également un des hauts-lieux de la résistance bas-Alpine durant la seconde guerre mondiale. Une stèle, à l’entrée de la ville, commémore d’ailleurs cette sombre page de l’histoire.

Le patrimoine, c’est aussi la superbe maison provençale de Jeanne, de plain-pied, lumineuse, élégante et délicieusement fleurie. À son image. Le jardin, surtout, qui fait la fierté de Jeanne, en léger contrebas d’une terrasse ensoleillée, fait plus de 600 m2 et revêt les plus beaux exemples de la flore provençale. «  C’est une maison que j’adore, elle est très jolie, très lumineuse et le jardin est très agréable. Il était hors de question de la quitter ». 

C’est le cas de nombreux, et même d’une écrasante majorité des seniors qui s’adressent à Senior Consulting Group : ils ne veulent pas quitter leur domicile. Cette maison est souvent le fruit d’un dur labeur, d’un coup de coeur et d’un investissement colossal. On aime sa maison, on y a laissé son sang, sa sueur et il est « hors de question » de la quitter.

Une (musique de) chambre en plus  

C’est aussi le cas de Jeanne. Et on la comprend. Qui voudrait abandonner un tel paradis ? Eh bien le viager offre justement cette possibilité, c’est même sa raison d’être. Et ce qui en fait une solution idéale pour de nombreux propriétaires, qui comme Jeanne voulait uniquement « mieux (se) chauffer », « gagner en confort dans la maison », « j’avais besoin de me faire aider pour le ménage aussi » et surtout « acheter un piano ! ». 

Car 100% des vendeurs en viager, comme 100% des gens sur cette terre, ont un rêve.  

Celui de Jeanne, c’était de pouvoir organiser des concerts de musique de chambre. Chez elle. La musique classique est en effet, avec son jardin et le la préservation du patrimoine, une de ses grandes passions. Avec son bouquet, Jeanne a pu s’acheter un magnifique piano, qui trône désormais au milieu du salon. Et ses rentes lui servent à organiser chaque mois, dans ce même salon, des concerts privés. Elle s’offre un petit orchestre à domicile, invite quelques amis triés sur le volet, et réalise sa passion.

Un investissement local 

Ce ne fut pourtant pas une décision facile. Jeanne, comme beaucoup, hésitait avant de vendre en viager mais explique avoir « bien été accompagné par (sa) fille » qui l’a encouragé dans son entreprise, consciente elle aussi que sa maman en avait besoin et avait envie de réaliser ses rêves.  Ensuite, « même si la signature du compromis a un peu tardé à arriver », « Jessica (Jessica Cafarelli, la responsable de secteur de Jeanne pour Senior Consulting Group, ndlr) m’a bien suivi et rassuré ». « Elle a rapidement organisé des visites car j’avais vraiment besoin de trouver des acquéreurs ». « Et par chance l’acquéreur a vécu dans ma ville, j’étais très contente de vendre à cette personne ». 

Aujourd’hui, Jeanne confesse qu’elle s’entend très bien avec cet investisseur du cru, un jeune homme, et sa femme :  « Je suis un peu comme sa grand-mère » conclue t-elle… 

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*les prénoms ont été modifiés