C’est dans un rayon, celui du soleil Occitan bien sûr, de 30 km autour du Bousquet-d’Orb, au coeur du Parc Naturel Régional du Haut Languedoc, que Nadine* a vendu pas un, pas deux, mais trois biens avec Senior Consulting Group. Car si Nadine a mis un peu de temps avant de se lancer dans le viager, une fois qu’elle a pris sa décision, tout a été très vite.

Une nue-propriété pour rester maîtresse d’hôtes 

Même si elle n’est aujourd’hui qu’en « semi-retraite, puisque je travaille à mi-temps dans une miellerie. », Nadine a passé toute sa carrière dans l’hôtellerie, d’abord à la tête de plusieurs chambres d’hôtes puis dans un hôtel. « Je n’ai pas beaucoup cotisé. Mon ex-mari était apiculteur…Bref, en tout ma retraite s’élève à 570€ par mois, en cumulant tout. » 

Heureusement pour elle, Nadine avait cette vocation de maîtresse d’hôtes puisque sa vie d’avant mais aussi d’après la (semi) retraite tourne autour de l’accueil et de la location. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle elle a voulu vendre son premier bien en nue-propriété et pas en viager occupé. « Je voulais garder mes locations » explique t-elle. 

Mais avant tout se « simplifier la vie ». 

Se simplifier la vie pour Nadine, c’est aussi se tranquilliser l’esprit sans avoir à se tracasser avec des histoires d’argent. Pas assez, mais pas trop non plus : « j’ai choisi de ne pas percevoir de bouquet, d’abord parce que je suis jeune et puis je ne savais pas quoi faire de cet argent, quel placement faire.. J’ai eu peur de cet argent… » « Les rentes me suffisent bien pour avoir l’esprit au repos. »

Deux viagers libres pour être… libre

Quand lui est venue l’idée de vendre en nue-propriété sa magnifique maison, dans laquelle elle vit et jouit d’une vue exceptionnelle sur les montagnes, Nadine avait aussi en sa possession deux petits appartements qu’elle louait depuis une quinzaine d’années.  

« Ce sont de petits appartements que j’avais en location et j’en avais assez de tous les problèmes dûs à la location. Les locataires d’abord, et les impayés puis tout le reste : les travaux, le syndic.. toutes ces exigences… » « Et puis à un moment il y a un locataire qu’il a fallu déloger de force. Deux ans sans loyer ! Même moralement c’est difficile, parce qu’on est pris pour des imbéciles. » 

La fameuse goutte d’eau qui fait déborder le vase.  Nadine a alors contacté Renée Costes « mais la région ne les intéressait pas. Aux yeux du consultant, mes appartements n’avaient pas de valeur. La rente qu’il m’avait proposé n’était pas sérieuse. »

Et puis Nadine a rencontré Florence Poublanc de Senior Consulting Group : « Elle a bien pris les choses en main, tout a été très vite et bouclé en 6 mois ! » «  La solution du viager libre est parfaite, on est très protégés. »

Ne pas être à charge

La décision n’a pourtant pas été facile à prendre pour Nadine, comme pour de nombreux seniors qui craignent la réaction de leurs enfants. 

« J’ai appris l’existence du viager libre par un ami, je ne connaissais pas les avantages mais je n’étais pas très chaude au début.. ça me dérangeait parce que j’avais l’impression de déshériter ma fille. »

Mais comme de nombreux seniors, Nadine a reçu le soutien et même les encouragements de sa famille : « finalement son père et elle m’ont poussé à le faire. »  « De toute façon, elle héritera du côté de son père. Et puis je me suis dit que comme ça, je ne serai pas à sa charge plus tard. » 

Car malgré tout, et avec la générosité qui la caractérise, Nadine ne pense jamais qu’à elle : « Ma fille habite Montpellier, elle a une bonne situation et puis j’ai un petit terrain qui sera intéressant pour elle ». Ne pas être à charge, transmettre, c’est aussi la vision d’une retraite « plus tranquille » pour Nadine.

Et pour en profiter davantage, grâce à ses rentes et ses locations, Nadine s’est offert « un jardinier » et a « fait mettre des panneaux solaires » et fait faire quelques travaux aussi.  «  Mon projet c’était surtout d’être bien chez moi… »  « La tranquillité d’esprit », enfin.

* les prénoms ont été modifiés